L'humeur du soir

Impossible de faire un article avec photo aujourd'hui. Puisque c'est comme ça, je me rabats sur un petit article. Comment allons-nous ?

Mathilde n'arrive pas à dormir. Moi, je viens juste de terminer un travail de vérification des remboursements de la mutuelle. De ce côté-là, tout va bien !

Les cartons s'entassent partout dans la maison. Les bibelots, cadres etc. se parent de papier et de papier-bulle. La pile augmente singulièrement sur le canapé. Gare à celui qui casse tout !

A ce jour, il reste sans doute des petites choses à finir dans les chambres des enfants. Pas le courage d'aller y voir. Pierre-Louis a avoué avoir envie de faire durer le plaisir. Moi, ça ne m'amuse pas. Je préfèrerais que tout soit fini demain et qu'on ait un dimanche libre pour aller se promener Dieu sait où. Sinon, il reste le salon, enfin, la bibliothèque surtout et la cuisine.

Si le linge voulait bien finir par sécher, ce serait le pied. Faut dire que ça fait 8 jours qu'il pleut, le linge ne sèche pas, il a fallu en relaver une bonne partie, et elle ne sèche toujours pas. Si la météo pouvait virer au grand soleil, comme ce qu'il y avait hier à Jupilles, ça m'arrangerait bien. Sinon, je suis à peu près sûre que ça ne sentira pas la rose à l'arrivée dans deux mois.

Evidemment, nous faisons ça dans la pénombre, car le moteur du volet roulant est cassé, et le volet est à moitié descendu... Nous avons relancé la demande de travaux, sans succès. Sans compter le super temps nuageux et pluvieux.

Heureusement, nous avons des souvenirs tout frais d'horizons plus souriants. Dimanche dernier à Canala, c'était beau, bien, accueillant, belle église, bonne acoustique, bon repas partagé avec les paroissiens de la tribu. Et puis Michel nous a fait découvrir La Crouen, avec les bassins d'eau sulfureuse chaude, les cascades de Canala. Sur la route du retour, Clarisse nous a semés. Fangio, Clarisse. Mais déjà à notre vitesse, les virages de la route de montagne ont eu raison de la digestion de Mathilde qui s'est empressée à notre arrivée de baptiser le trottoir !

Allez, sur ce, tâchons d'aller prendre un repos bien mérité !