Bulles de bonheur : c’est reparti !

J’avais déjà fait les quatre premières bulles de bonheur du SAL éponyme de Pili du blog Lin Pulsion (voir la finition  et les précédentes étapes Une, deux, trois et quatre) et avant de rentrer en France, j’avais préparé un carré de toile de lin blanc pour faire toute la collection. 
Durant l’été je n’y ai pas touché, mais courant septembre, après la rentrée scolaire à Djibouti, j’ai pu m’y mettre. 
Quand je commence, il faut vraiment des nécessités  impérieuses ou le manque de lumière pour m’arrêter !

Par contre, étonnamment, je ne parviens pas à réfléchir aux combinaisons de couleurs comme je l’avais fait avec les Petits Carrés. 
C’est donc un autre plaisir, renouvelé. 

Vue générale

Le caillou blanc est un cristal de sel comme on en voit sur la banquise du lac Assal. Le lac a cela de particulier d’être le point le plus bas du continent africain, plus de 150 m sous le niveau de la mer. Il est alimenté par quelques sources chaudes (on est sur une faille du Rift africain) et par de l’eau de mer qui s’infiltre depuis le Goubet via les fameuses failles. L’eau y est donc très salée, plus salée que la mer Morte. Et la chaleur (50° C l’été) digne d’une fournaise crée ces cristaux qui forment une sorte de plage qu’on appelle banquise. L’endroit est impressionnant. Nous y retournons dans quelques jours. 

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